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Fashion week: Burberry décline le trench et emprunte aux codes du sport
Londres – Avec une collection printemps-été 2025 revisitant l’emblématique trench et empruntant au style sportswear, le styliste Daniel Lee a fait souffler lundi un vent nouveau sur la maison britannique Burberry, pressée de se réinventer face à ses difficultés financières.
Le designer anglais a dérogé à la tradition consistant à convier ses invités dans une gigantesque tente plantée au coeur d’un parc, choisissant cette fois le béton du National Theatre, dont l’architecture brutaliste est aussi admirée que détestée par les londoniens.
Pour la scénographie du lieu, le directeur créatif a fait appel à l’artiste britannique Gary Hume, qui a redécoré le foyer du bâtiment en s’inspirant d’une de ses installations des années 1990.
Le changement est radical, avec une moquette lilas et de grands draps verts percés de motifs géométriques, inspirés par les paravents des hôpitaux, qui font exploser la couleur entre les piliers de béton gris.
Sous les yeux d’invités de marque – la rédactrice en chef de Vogue USA Anna Wintour, l’acteur Barry Keoghan, le chanteur de Blur Damon Albarn ou l’athlète récemment médaillée d’or à Paris Keely Hodgkinson – les modèles entrent par l’un des escaliers massifs du bâtiment.
Source site internet, Fashionunited.fr
Défilé Shein France ou la rencontre entre pièces créateurs et vêtements de tous les jours
À quoi ressemblent les looks proposés par Mathilde Lhomme, Eddie Corps et Mohammad Hossein Mahjouri, jeunes créateurs qui se sont illustrés lors du défilé Shein France ?
À quelques jours de la fashion week parisienne, le show Shein France a eu lieu au Pavillon Vendôme, bouleversant, une fois de plus, les codes de la profession. Ironie du sort, le show s’intitulait « Nouveaux Codes ».
Nouveaux codes car, en l’occurrence, il s’agissait de mixer des créations originales avec des vêtements et accessoires de mode 100 % pur Shein. Une manière habile de mélanger pièces créateurs et vêtements de fast fashion.
C’est le cas, par exemple, de Mathilde Lhomme (@not_famous_anymore) qui a proposé trois silhouettes, parmi les plus glamours. De base, Mathilde Lhomme est styliste/costumière pour le cabaret (elle a réalisé les costumes du spectacle des casinos Barrière). Pour le total look rouge, elle a conçu le bustier. Le reste (jupe, boa, gants, etc.), c’est du Shein. Idem pour le bustier (look porte-jaretelles) ou le pantalon plumes qu’elle a signés.
Source site internet, Fashionunited.fr
Pandora collabore à nouveau avec la Copenhague Fashion Week
Pour la troisième année consécutive, Pandora prend part à la Copenhague Fashion Week et organise différents évènements autour de cette semaine de la mode. Pour cette nouvelle édition, la marque a prévu plusieurs nouveautés.
La marque danoise de joaillerie Pandora a organisé une série d’événements et de collaborations depuis le 5 et jusqu’au 9 août, à l’occasion de la Copenhague Fashion Week.
Au cours de cette semaine de la mode, Pandora s’est associée à la marque danoise Rotate pour son défilé printemps-été 2025. Le 8 août, les mannequins présentant les pièces exclusives de la marque portaient également des bijoux exclusifs signés Pandora. Des chaînes, des bagues, des bracelets et des créoles conçus pour l’occasion ou issus des collections de la marque.
Pandora s’est aussi associée à la Royal Danish Academy dans le cadre du projet « When Fashion meets Jewellery ». Au cours de ce programme de six semaines, des étudiants de master ont été chargés d’incorporer des bijoux Pandora dans leurs propres créations de prêt-à-porter. Les lauréates des premier et second prix – Juliane Margot Rigne Jørgensen et Sarah Blicher Bruunsgard Bek – ont reçu respectivement 20 000 et 10 000 DKK (soit 2680 et 1340 euros) de la part du joaillier qui veut ainsi marquer son engagement à soutenir les futures générations de créateurs. Les modèles imaginés par les gagnantes ont été présentés le 6 août au cours de l’exposition de la promotion 2024 de la Royal Danish Academy.
Source site internet, Fashionunited.fr
A Taïwan, des coquilles d'huîtres métamorphosées en tissu écoresponsable
Tainan (Taïwan)- Employées depuis des lustres pour leurs vertus isolantes, les coquilles d’huîtres sont désormais réutilisées pour créer un tissu écoresponsable unique dans l’ouest ostréicole de Taïwan.
L’entrepreneur Eddie Wang se souvient des coquilles du mollusque bivalve qui jonchaient les rues de sa localité d’origine du comté de Yunlin (ouest) et que les habitants employaient pour isoler leur logement.
« Ils brûlaient les coquilles et appliquaient les résidus sur les murs. Les maisons devenaient ensuite chaudes pendant l’hiver et fraîches durant l’été », relate pour l’AFP le Taïwanais de 42 ans dans son usine de Tainan, dans le sud-ouest de l’île.
« J’étais donc curieux quant aux raisons pour lesquelles les coquilles d’huîtres avaient un tel effet miraculeux. »
Son entreprise Creative Tech Textile, créée en 2010, a produit un « tissu écoresponsable », du polyester obtenu à partir de bouteilles en plastique recyclées, mais M. Wang le trouvait « ordinaire ».
Il a ainsi collaboré avec un institut de recherche pour expérimenter la fabrication de tissu à partir de résidus de coquilles d’huîtres, son souvenir d’enfance en tête. Les recherches ont abouti en 2017 avec la découverte d’un procédé permettant de fabriquer un matériau semblable à la laine.
Source site internet, Fashionunited.fr
Hermès donne le coup d’envoi de sa nouvelle maroquinerie en Gironde
La Maison de luxe pose ces jours-ci la première pierre de son atelier de Loupes. Cette adresse est la vingt-cinquième manufacture d’Hermès en France et la seconde de la marque en Gironde.
Un nouveau pôle Hermès en Nouvelle-Aquitaine
Trois ans après l’inauguration de sa manufacture de Guyenne à Saint-Vincent-de-Paul, Hermès renforce ses positions dans le Sud-Ouest avec le lancement du chantier de son futur site de Loupes.
La conception de ce nouveau bâtiment, situé à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux, a été confiée à l’agence Patrick Arotcharen Architecte qui avait déjà réalisé la maroquinerie de Guyenne. Le site, conçu en collaboration avec une écologue, sera équipé de panneaux photovoltaïques, de sondes géothermiques ainsi que d’un système de récupération des eaux pluviales. Hermès, qui dispose de sa propre évaluation de performance immobilière, utilisera également des matériaux biosourcés et du béton bas carbone.
Outre l’atelier de Saint-Vincent-de-Paul, la Maison de luxe est déjà implantée en Nouvelle-Aquitaine avec des sites à Saint-Junien, Nontron et Montbron. Elle ouvrira également l’année prochaine un atelier à l’Isle-d’Espagnac, près d’Angoulême.
Source site internet, Journal du Luxe
Quelles sont les marques de luxe les plus citées dans le rap français ?
Une récente étude menée par le site Chrono24 met en lumière les Maisons de luxe les plus mentionnées dans les textes des rappeurs et rappeuses les plus écoutés en France et aux Etats-Unis. Décryptage.
Gucci plébiscité dans le rap français
8.300 textes de rap français passés à la loupe et un vainqueur Made in Italy. Avec 345 mentions, Gucci s’impose comme la griffe de luxe la plus citée au sein des chansons des 50 personnalités du rap les plus streamées en France.
La Maison Louis Vuitton – et ses variantes « LV » et « Louis Vi » – se hisse quant à elle à la seconde position avec 250 mentions.
Sur la troisième marche du podium hexagonal, on retrouve Rolex avec 184 citations. Selon Chrono24, spécialisé dans la vente online de montres de luxe, trois modèles de la manufacture s’imposent également comme les garde-temps les plus cités par les grands noms du rap en France : la Daytona, la Submariner et la Datejust.
Parmi les artistes qui parlent le plus de luxe, JuL se démarque avec 163 références à des marques de prestige. Le marseillais est suivi par La Fouine (113 mentions) et Kaaris (100 mentions). Les rappeuses semblent pour leur part moins enclines à citer ces marques avec seulement six mentions observées dans les textes d’Aya Nakamura, par exemple.
Source site internet, Journal du Luxe
Sephora booste sa visibilité et sa présence à l'occasion des Jeux de Paris 2024
Implantations de pop-up stores dans certaines villes-étapes de la flamme olympique, animations en magasins ou encore mise en beauté des médaillés, Sephora, partenaire officiel des Relais des Flammes Olympique et Paralympique de Paris 2024, veut faire rimer Jeux avec beauté.
C’est le 8 mai à Marseille que la flamme olympique a débuté son voyage hexagonal ; un périple durant lequel elle sillonnera 52 villes de la métropole et d’outre-mer avant d’arriver à Paris le 26 juillet. Sephora, l’enseigne de parfumerie sélective du groupe LVMH, par ailleurs partenaire premium des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, jalonnera ce parcours de plusieurs temps forts.
En effet, dans 46 villes de France traversées par le parcours de la Flamme Olympique de Paris 2024, 50 magasins Sephora vont proposer des animations aux clients et la participation à un jeu pour remporter des cadeaux comme des bons d’achats ou des places pour assister à des compétitions. L’enseigne installera par ailleurs des pop-up stores à Bordeaux le 23 mai, Nice le 18 juin, Lille le 2 juillet et Paris le 14 juillet afin de « célébrer le lien entre la beauté et le sport », indique Sephora.
Source site internet, Fashion Network
Les transparences d'Yves Saint Laurent s'invitent à la Nuit européenne des musées 2024
L’institution parisienne fait partie de la programmation 2024 de la Nuit européenne des musées qui se tiendra le 18 mai prochain. L’occasion de découvrir ou redécouvrir – en accès libre – la dernière exposition consacrée aux travaux du couturier.
Une nuit avec Saint Laurent
Après un premier volet présenté à la Cité de la dentelle et de la mode de Calais l’année dernière, l’expositionYves Saint Laurent : Transparences, le pouvoir des matières s’offre un second round au Musée Yves Saint Laurent Paris jusqu’au 25 août prochain dont une soirée inédite dans le cadre de la vingtième édition de la Nuit européenne des musées.
Sous la curation de la conseillère artistique Anne Dressen et par le biais d’une scénographie signée par l’architecte Pauline Marchetti, cette exposition se veut revenir sur l’utilisation de la transparence dans les collections d’Yves Saint Laurent depuis les années 60 et tout au long de sa carrière.
Source site internet, Journal du Luxe
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